EXEMPLE DE TRANSMISSION

En 2024, Jean Martin 82 ans, sentit qu’il était temps de transmettre son histoire.

 

Il prit la décision d'enregistrer son Autobiophonie ( A ) chez la société du même nom, afin de laisser un héritage sonore à ses proches et aux générations futures.

 

Après l'enregistrement, Jean demanda une transmission immédiate (IMMEDIAT), souhaitant écouter son récit chez lui. Il prit le temps de revisiter ses souvenirs, notant les détails qu'il souhaitait modifier, ajuster, ou améliorer. Cet enregistrement, c'était bien plus que des mots. C'était le reflet de toute une vie. Une fois les corrections notées, il retourna chez Autobiophonie pour faire modifier tout ce dont il n'a pas été satisfait sur l'enregistrement brut.

 

Un mois plus tard ( M+1 ) , après qu'Autobiophonie ait supprimé les silences, éliminé les passages superflus et amélioré la qualité sonore pour atteindre une clarté digne des grandes radios nationales, Jean reçut enfin la version finale. Un enregistrement perfectionné, porteur de son histoire, qu'il pourrait transmettre en toute sérénité.

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En enregistrant son Autobiophonie, Jean souhaitait rendre hommage à l’un de ses plus fidèles amis. Il décida d’inviter Marcel Pallouchard à partager un enregistrement entre amis ( EA ), scellant ainsi leur amitié pour l’éternité. Ensemble, ils évoquèrent leurs aventures, leurs rires, et les souvenirs gravés dans leur mémoire. Ce fut un moment empreint de joie et de nostalgie, un témoignage vivant de leur complicité. Après traitement (M+1), ils reçurent cet enregistrement, devenu un véritable trésor sonore, symbole de leur amitié intemporelle qu'ils pourraient transmettre plus tard à leurs ayants droits ainsi qu'aux ayants droits des ayants droits (après leur décès) et montrer aux générations futures ce que voulait dire l'amitié à leur époque (70 ans après le décès). 

 

Alors que Noël 2025 approchait, Jean prit une décision difficile : il voulait offrir son autobiophonie ( A ) à ses enfants.

 

Mais une blessure non guérie le séparait de son fils Rémi, avec qui il s'était profondément fâché.

 

Le cœur lourd, Jean décida de transmettre son autobiophonie ( A ) à sa fille Stéphanie. C'était un geste empreint de tristesse mais aussi de sagesse. Jean en profita également pour enregistrer un message d’amour (M1) pour sa femme Brigitte, un message empli de tendresse et de gratitude, destiné à être remis à un moment important de leur vie commune.

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En 2032, pour ses 90 ans, Jean espérait rassembler toute sa famille autour de lui. Mais les tensions avec Rémi persistaient. Son fils ne voulait toujours pas le voir, et Jean n’avait plus de lien direct avec sa petite-fille.

 

Avec une immense tristesse, il se résigna à offrir son autobiophonie ( A ) uniquement à son petit-fils Alexandre. À travers ce geste, il espérait tout de même transmettre une partie de son histoire à la jeune génération.

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Mais Jean portait en lui des douleurs secrètes, des regrets profonds. En enregistrant sa vie, il ne pouvait ignorer ce qui l’avait séparé de son fils et de sa petite-fille Amandine qu'il aimait tant. Il décida alors de libérer ce secret ( S1 ), qui pesait sur son cœur depuis tant d’années. Ce secret était à l'origine de la dispute avec Rémi, une erreur que Jean regrettait profondément, mais que son fils n’avait jamais pu lui pardonner. En offrant son Autobiophonie ( A ) et ce secret ( S1 ) à sa petite-fille au moment de son départ, Jean espérait qu’elle comprendrait les raisons de cette séparation, et qu’elle saurait, malgré tout, à quel point il l’avait aimée. Il espérait aussi qu’elle trouverait les mots pour, qu’un jour, Rémi puisse enfin lui pardonner ses erreurs.
 

En parallèle, Jean enregistra également ( S2 )  ,un secret encore plus lourd : les violences démentes de son père. C’était une part sombre de sa vie qu’il n’avait jamais vraiment partagée. Jean souhaitait que ce secret ne soit révélé que (70 ans après le décès), pour permettre aux générations futures de comprendre la dureté de cette époque, mais aussi pour épargner sa famille.

 

Ces violences avaient été cachées à son frère Joseph, qui en ignorait tout. Joseph avait toujours idolâtré leur père, et Jean ne voulait pas briser ce lien précieux, un lien si différent de celui qu’il avait lui-même entretenu avec son père. Grâce à cela, Joseph a pu vivre dans l’ignorance de ce secret et rester en paix avec leur père tout au long de sa vie.

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Ce secret, Jean le destinait au domaine public, afin que son histoire, aussi difficile soit-elle, puisse servir de témoignage et d’enseignement pour les générations à venir.

 

Ce fut donc bien plus tard, une fois que ce secret ( S2 ) fut tombé dans le domaine public, qu'Emmanuelle, la fille de Joseph, en prit connaissance. N'étant pas dans les ayants droits, elle n'avait pas pu accéder à ce secret avant qu'il ne devienne accessible à tous.

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Avant de quitter ce monde, Jean enregistra aussi des messages pour Brigitte(M2) , Stéphanie (M3) , Alexandre (M1) et Marcel (M1) , des mots d’amour et de gratitude. Il voulait que ces messages leur soient remis après son décès (après le décès) , comme un dernier souffle de tendresse et d’affection, pour leur rappeler combien ils avaient compté pour lui. Ces messages étaient son ultime cadeau, un moyen de rester présent dans leurs vies, même après son départ.

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Jean avait un souhait particulier : il voulait que son autobiophonie ( A ) puisse être consultée par les ayants droits de ses ayants droits, pour que cette histoire familiale ne s’éteigne jamais et puisse se transmettre aux générations futures.

 

Il espérait que son autobiophonie serait un héritage précieux pour ses descendants, une manière de préserver les racines et la mémoire familiale.

 

Et enfin, lorsque viendrait le temps où son autobiophonie entrerait dans le domaine public, Jean savait que le monde découvrirait son histoire telle qu'il l'avait vécue, sans filtres, sans mensonges. C'était sa volonté que son récit résonne à travers les âges, que ses souvenirs continuent de vivre bien après lui.